Heureuse nouvelle au tribunal : l'affaire du lycéen blessé n'est pas "classée sans suite"
Bonjour,
Il est vers 18 heures ce jeudi 10 juillet, et nous sortions tout à l'heure de l'échéance d'une convocation cet après-midi chez le procureur, ... où nous attendait une bonne nouvelle dans ce type d'affaire :
Au lieu de "classer sans suite" l'affaire de Pierre, le procureur ouvre une information judiciaire pour compléter l'enquête et demande même une collégialité, soit 2 juges d'instruction, au lieu d'un seul.
Il s'agirait de "coups de blessures par agent de la force publique et par armes". C'était le 27 novembre 2007 au Rectorat.
La suite dans "France 3" Pays de la Loire de ce soir, RFLO et toute la presse écrite locale (prévenue par qui ? on ne sait pas).
C'est pour l'instant un première étape délicate qui est passée, grâce à tous ceux qui nous aidés, dont bien entendu les enquêteurs bénévoles du Groupe de travail, la LDH, les unions départementales en intersyndicale, la FCPE, etc, sans oublier les importants échos dans la presse locale et parisienne.
Rappelons qu'il s'agit du droit de manifester sans être blessé.
Par ailleurs, le procureur a envoyé le dossier à la CNDS (Commission nationale de déontologie de la sécurité).
A bientôt, et merci à tous,
Luc et Emmanuelle, les parents du lycéen blessé
Bonjour,
Il est vers 18 heures ce jeudi 10 juillet, et nous sortions tout à l'heure de l'échéance d'une convocation cet après-midi chez le procureur, ... où nous attendait une bonne nouvelle dans ce type d'affaire :
Au lieu de "classer sans suite" l'affaire de Pierre, le procureur ouvre une information judiciaire pour compléter l'enquête et demande même une collégialité, soit 2 juges d'instruction, au lieu d'un seul.
Il s'agirait de "coups de blessures par agent de la force publique et par armes". C'était le 27 novembre 2007 au Rectorat.
La suite dans "France 3" Pays de la Loire de ce soir, RFLO et toute la presse écrite locale (prévenue par qui ? on ne sait pas).
C'est pour l'instant un première étape délicate qui est passée, grâce à tous ceux qui nous aidés, dont bien entendu les enquêteurs bénévoles du Groupe de travail, la LDH, les unions départementales en intersyndicale, la FCPE, etc, sans oublier les importants échos dans la presse locale et parisienne.
Rappelons qu'il s'agit du droit de manifester sans être blessé.
Par ailleurs, le procureur a envoyé le dossier à la CNDS (Commission nationale de déontologie de la sécurité).
A bientôt, et merci à tous,
Luc et Emmanuelle, les parents du lycéen blessé
