pour mardi 24 juin, 18 heures, Maison des syndicats (Nantes), salle A,
boulevard de la Prairie-au-Duc, Nantes.
boulevard de la Prairie-au-Duc, Nantes.
1 – État de santé de Pierre, victime d'un tir de flashball de la police.
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1.1 - Deux opérations sous anesthésie générale, pose d'implants, interventions réussies (glaucome et cataracte) mais résultats très décevants.1.2 - Une infirmité permanente - épreuves actuelles du baccalauréat
2 – Un dossier à double dimension
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2.1 - Dossier à la fois juridique (réparation personnelle pour Pierre) et collectif/politique : prévenir de telles blessuresvolontaires dans les manifestations (créer une jurisprudence nationale).
2.2 - Notre démarche n'est pas une posture de vengeance ou de « victimisation ». Le respect des droits de chacun est
indivisible.
2.3 - Problème social et sociétal du surarmement de la police, de sa formation. Audiences demandées en vain par syndicats et
associations. Débuts d'une prise de conscience indispensable.
3 – Une tentation qui serait inacceptable : Justifier les tirs de flashball du 27 novembre par une prétendue « légitime défense » de la police.
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3.1 - Les nombreux témoignages reçus : Aucun danger subi par la police, manifestants à l'extérieur du rectorat.3.2 - Le cas flagrant du 28 novembre 2008 devant l'ETS (vidéo). Faits graves qui doivent être joints à l'enquête.
3.3 – Trop de questions sans réponses : Y a t il eu consigne nationale de violenter les manifestations de lycéens de l'automne
dernier, de tester (sans homologation ?) de nouvelles armes plus dangereuses ?
3.4. - Les deux lettres contradictoires, à caractère diffamatoire et mensonger envoyées à une citoyenne nantaise. On sent
comme une stratégie erratique et embarrassée pour justifier ces violences.
3.5 - La police doit reconnaître sa faute, pour sortir de cette affaire par le haut, au lieu de s'enferrer dans une justification
qui ne peut conduire qu'à des faux témoignages, à des dissimulations de preuves, et à de graves entraves à l'action de la
justice.
4 – Etat du dossier judiciaire : le risque de l'enlisement
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4.1 - Une longueur malheureusement coutumière mais choquante.4.2 - Un blocage artificiel de toute l'enquête : la CNDS scandaleusement privée de dossier, la famille aussi (empêchement
de porter plainte directement).
4.3. - Espoir que le nouveau procureur nantais va débloquer la situation.
5 – L'enquête de l'IGPN et la confrontation avec le tireur
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5.1 - Bizarreries et particularités de l'enquête de l'IGPN, de la confrontation- « surprise », puis « remise » avec Pierre,impossibilité de poser nos questions. Étude d'une photo choisie : une fausse piste.
5.2 - Une enquête entièrement clandestine et opaque de l'IGPN : dans ses résultats, mais aussi dans son périmètre de
recherche, dans sa méthode opératoire, dans ses moyens, et enfin dans ses délais de clôture.
5.3 - Une initiative prochaine de la famille : Demander à Michèle Alliot-Marie (au Ministère de l'Intérieur) de rendre
publique cette enquête en l'état, sans plus tarder.
5.4 - Car nous n'avons pas peur de la vérité. - Nous allons essayer de porter cette affaire au plan national.
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La parole donnée aux organisations présentes.