Voici à toute fin utile une revue complète de la presse écrite régionale et nationale pour notre conférence de presse du lundi 9 novembre.
N'étant pas responsables du contenu de ces articles, nous les citons tels quels, en regrettant cependant que certains journalistes n'aient pas eu la place de rapporter plus précisément les propos et messages importants de nos invités de Nantes (FSU 44, CFDT, FCPE, Ligue des Droits de l'Homme, UNL, Défenseur des enfants) ou de Paris (Philippe Castel pour la FSU et Benoit Muracciole pour Amnesty International). Vous trouverez plus bas une brève synthèse de ces propos importants.
Il nous faut également relever certaines erreurs factuelles (c'est le recteur et non l'inspection académique qui a demandé l'expulsion du rectorat, etc) et notamment celle-ci qui pourrait provoquer des malentendus :
Un journal écrit à propos de notre « groupe de travail » que celui-ci « réunit la FCPE, l'Unsa, FSU, SGEN-CGDT, La ligue des droits de l'homme. »
Or c'est doublement inexact, car s'il existe effectivement un Groupe de travail actif de personnes amies travaillant personnellement au suivi judiciaire et public de cette affaire (ce groupe est l'auteur de l'ouvrage broché diffusé lors cette conférence de presse), il n'a jamais pris la forme d'un Comité de soutien ou de Cartel d'organisations, ceci pour éviter toute lourdeur inutile.
Par conséquent, la liste d'organisations alléguée est évidemment fantaisiste, et d'ailleurs lacunaire s'il s'agissait d'indiquer le cercle de nos soutiens, qui comprend, entre autres, de nombreux partenaires associatifs comme Droit international des enfants, FCPE, ICEM-Pédagogie Freinet, ATTAC, LDH, Amnesty, et notamment l'intersyndicale départementale qui s'est adressée à plusieurs reprises au Préfet et au Procureur de la République suite aux violences policières du 27 septembre 2007 : démarches unitaires des unions départementales CGT, CFDT, CFTC, FO, FSU, UNSA, SUD-Solidaires, avec Sud-Etudiants et Unef.
N'étant pas responsables du contenu de ces articles, nous les citons tels quels, en regrettant cependant que certains journalistes n'aient pas eu la place de rapporter plus précisément les propos et messages importants de nos invités de Nantes (FSU 44, CFDT, FCPE, Ligue des Droits de l'Homme, UNL, Défenseur des enfants) ou de Paris (Philippe Castel pour la FSU et Benoit Muracciole pour Amnesty International). Vous trouverez plus bas une brève synthèse de ces propos importants.
Il nous faut également relever certaines erreurs factuelles (c'est le recteur et non l'inspection académique qui a demandé l'expulsion du rectorat, etc) et notamment celle-ci qui pourrait provoquer des malentendus :
Un journal écrit à propos de notre « groupe de travail » que celui-ci « réunit la FCPE, l'Unsa, FSU, SGEN-CGDT, La ligue des droits de l'homme. »
Or c'est doublement inexact, car s'il existe effectivement un Groupe de travail actif de personnes amies travaillant personnellement au suivi judiciaire et public de cette affaire (ce groupe est l'auteur de l'ouvrage broché diffusé lors cette conférence de presse), il n'a jamais pris la forme d'un Comité de soutien ou de Cartel d'organisations, ceci pour éviter toute lourdeur inutile.
Par conséquent, la liste d'organisations alléguée est évidemment fantaisiste, et d'ailleurs lacunaire s'il s'agissait d'indiquer le cercle de nos soutiens, qui comprend, entre autres, de nombreux partenaires associatifs comme Droit international des enfants, FCPE, ICEM-Pédagogie Freinet, ATTAC, LDH, Amnesty, et notamment l'intersyndicale départementale qui s'est adressée à plusieurs reprises au Préfet et au Procureur de la République suite aux violences policières du 27 septembre 2007 : démarches unitaires des unions départementales CGT, CFDT, CFTC, FO, FSU, UNSA, SUD-Solidaires, avec Sud-Etudiants et Unef.
- Journal de France 3 Estuaire lundi 9 novembre 2009
- Article dans "Libération" 13 novembre 2009 à propos du CLEJ
